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EDITIONS BGA PERMEZEL

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24 octobre 2018

Rencontre dédicace avec Bruno Permezel

Rencontre dédicace avec

Bruno Permezel

 

Dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre,

Bruno Permezel Président de l'ARM (rescapés de Montluc) signera son livre

Des « Poilus » à Montluc - 1943 - 1944

 

Rendez-vous au Mémorial de la prison Montluc à Lyon

le vendredi 26 et le jeudi 27 Octobre 2018

 

 

rencontre-avec-bruno-permezel

 

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24 octobre 2018

Des « Poilus » à Montluc - 1943 - 1944

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Auteur : Bruno Permezel
Préface : 
J.O. Viout, président du Conseil d’orientation du Mémorial national de la prison de Montluc

1 février 2015

Résistants à Lyon, Villeurbanne et aux alentours. 2824 engagements

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Auteur : Bruno Permezel
Préface :
Jean-Paul Garin, résistant déporté

Paru le 01/11/2003 (2ème édition)
Relié / 740 pages
Dimensions / poids : 25,0cm x 31,0cm x 5,0cm / 3,065kg

Prix patrimoine 2003 du Conseil Général du Rhône

4ème de couverture :
2824 notices présentants au fil des pages des prénoms masculins, des prénoms féminins/ Des noms de Lyon, des noms des environs, des noms de France/Des noms d'ailleurs, des noms de nulle part.../Des noms inconnus, des noms oubliés, des noms célébrés/Des engagements heureusement pluriels/Des parcours malheureusement singuliers. Clandestins, jeunes ou d'âge mûr, toujours " terroristes " pour leurs poursuivants, les résistantes et résistants à Lyon, Villeurbanne et aux alentours, dont il est question au fil des pages de ce recueil de notices biographiques, n'ont, pour la plupart d'entre eux, pas tenu les premiers rôles. Ils sont restés les ouvriers anonymes mais indispensables de cette épopée que l'histoire a retenue sous le nom de Résistance. Solitaire et solidaire, chacun d'entre eux a maintenu et développé un état d'esprit qui, s'il s'est traduit par des actes exceptionnels, s'est le plus souvent concrétisé par une multitude d'actions répétitives, parfois peu efficaces mais toujours dangereuses. Approfondir l'itinéraire de chacun de ces volontaires, c'est rechercher le sens d'un engagement admirable, mais aussi se procurer un outil de réflexion personnelle, pour aujourd'hui comme pour demain, car " il n'y a pas de bonheur sans liberté, ni de vaillance sans liberté " (Thucydide).

PRIX TTC : 44,00 euros

1 janvier 2015

Mémoires de René Pernot, résistant de Saône-et-Loire

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Mémoires de René Pernot, résistant de Saône-et-Loire
Arrêté à l'age de 15 ans (Montluc, Compiègne, Buchenwald , Dachau)

1 janvier 2015

Journal de l'Après-libération (Belgen-Belsen, 15 avril - 24 mai 1945)

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Journal de l'Après-libération (Belgen-Belsen, 15 avril - 24 mai 1945)
par André Pedron, résistant déporté

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1 janvier 2015

Journal de Pierre Garraud - Lyon, 18 mai 1942 - 26 janvier 1943

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Journal de Pierre Garraud - Lyon, 18 mai 1942 - 26 janvier 1943
L'auteur est alors doyen de la Faculté de droit et conseiller municipal de Lyon

1 août 2014

L'odyssée d'un juif roumain aux temps de la Résistance française et de la guerre froide

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Auteur : Ervin Bodnar
Préface :
Gilbert Chabroux, Ancien Sénateur-maire de Villeurbanne

Dépôt légal : Août 2014
Broché / 279 pages

4ème de couverture :
Dans ce témoignage, il évoque l'histoire de la famille, ses souvenirs d'enfance, ses études à l'Ecole de chimie de Lyon, mais aussi les bouleversements, les évènements souvent tragiques dont il a été témoin oculaire ou bien un acteur volontairement engagé.Sans emphase, il raconte sa drôle de guerre, en France, son exode vers le Sud, l'instauration des mois antijuives par le gouvernement de Clichy, son arrestation au cours d'une rafle de juifs à Grenoble, sa participation à la Résistance française, dans le cadre des bataillons FTP-MOI Campagnole et Liberté, sa praticipation fin Août 1944 à l'insurrection et à la libération de Villeurbanne, mais auss, après la libération de Lyon, son engagement comme volontaire dans l'armée française, sa participation en 1945 à la campagne d'Italie du Nord, dans le cadre de la 27ème DIA-division d'infanterie alpine.Fort pudiquement, il évoque la déportation et l'extermination de ses parents, de son frère et de 17 membres de sa famille, au cours du printemps 1944 dans les camps nazis.Egalement, il livre avec le plus grand respect de vérité, les épreuves et les enseignements qu'il a retiré de son retour en Roumanie en 1945.Sans règlement de compte, il évoque son parcours, des années 1945 à 1971 en Roumanie et en Union Soviétique, puis son installation définitive en France grâce à l'aide du gouvernement Chaban-Delmas.D'abord apatride, puis réintégré dans la nationalité française, il a contribué au développement d'une peinture écologique, sans solvants, qui a permis de créer 120 emplois dans l'entreprise qu'il dirigeait alors...Malgré son parcour de vie bien souvent cruel, Ervin Bodnar a trouvé le bien-être dans le pays qu'il avait défendu contre les nazis. A travers ces pages, il témoigne d'un goût de la vie sans limilte.

PRIX TTC : 25,00 euros

1 juillet 2014

Le mémorial de Lyon en 1793 : Tome XX - Jean-Antoine Morand et sa descendance

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Auteur : Lyon 93

Dépôt légal : juillet 2014
Broché / 248 pages

4ème de couverture :
Jean-Antoine Morant naît en 1727 à Briançon, où son grand-père Jacques, issu d'une famille de notables de Vallouise (Hautes-Alpes), s'est installé dans les années 1670. Il passe toute son enfance à Briançob, qu'il quitte à l'âge de vingt ans pour exercer à Lyon le métier de peintre décorateur. C'est ainsi qu'il travaille à la décoration du théâtre dont Soufflot dirige l'édification. Lors du départ de l'architecte pour Paris, il devient responsable du chantier et se voit chargé de la fin des travaux comportant la construction d'un nouvel étage de balcons.
Sur la recommandation de Soufflot il entre comme associé dans l'opération d'urbanisme dont le but est de colmater un bras du Rhône et d'y créer un nouveau quartier (Saint-Clair) au pied de la Croix-Rousse. Il s'intitule désormais architecte épouse en 1759 Antoinette Levet, fille d'un notaire lyonnais. Tous deux, ils achètent un terrain dans ce nouveau quartier, où Morand fait construire une maison sur pilotis, préfiguration du futur pont.
Fort de l'expérience acquise dans l'opération du quartier Saint-Clair, Morand imagine alors l'urbanisation, bien plus importante, de toute la rive droite du Rhône. Il materialise son idée par un plan montrant l'agrandissement de Lyon sur les terrains de la plaine des Brotteaux. Appelé le « plan rond », ce document est accompagné d'une notice qui définit les objectifs poursuivis, notamment la construction d'un pont qui donnera accès à ce nouveau quartier. Pour obtenir l'accord des décideurs, il distribue plus de soixante dossiers aux autorités locales il y a quelques notables parisiens qui a connus à Lyon. Mais il se heurte à la concurrence du projet de Perrache (opération dans la zone du Confluent) soutenu par les édiles Lyonnais. A la longue, il finit par obtenir de Paris l'autorisation de construction de son pont.
En mars 1772, Morand sonde avec des capitaux privés la compagnie chargée de financer les travaux. Dès lors, ceux-ci sont rapidement engagé. Le pont est ouvert à la circulation piétonne en mai 1775 et aux véhicules quelques mois plus tard. Il est constitué de travées en bois reposant sur seize piles en bois fortement enfoncées dans le lit du fleuve. Solide à toute épreuve, il va rester en service tel quel temps dans très de cent ans.
Parallèlement à l'organisation des Brotteaux, Morand est appelé au remodelage du quartier Saint-Jean, puis du quartier des Célestins. Il travaille aussi à l'aménagement de nombreux châteaux dans le voisinage de Lyon.
Pendant le siège de Lyon (été 1793), Morand fait enlever une travée de son pont pour empêcher les troupes de la Convention de pénétrer par là dans la ville. Cet acte lui vaut d'être arrêté et incarcéré le 20 novembre. Jugé le 24 janvier 1794 par la commission révolutionnaire, il est condamné à mort malgré les éminents services qu'il a rendus à la ville. Le jour même il périt sur l'échafaud, laissant une veuve et deux enfants : Jeanne-Louise, mariée à Paul de Besson (dont on ne connait que le tout début de la descendance), Antoine, dont la très nombreuses postérité se trouve principalement présentée dans cet ouvrage.

PRIX TTC : 50,00 euros

1 décembre 2012

Les Baboin : Des banquiers lyonnais dans la tourmente de l'Histoire (Vienne 1804-1806)

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Auteur Marc Baboin-Jaubert
Préface : Ghislain de Diesbach

Dépôt légal : décembre 2012
Broché / 84 pages
Dimensions : 24 x 16 x 1 cm

4ème de couverture :
Rares sont les émigrés français, fuyant la Révolution, qui ont tenté de s'implanter dans les pays d'accueil, d'y refaire leur vie, et parfois, d'y faire fortune. La plupart se contentaient de vivoter en attendant une hypothétique restauration, leur retour en France, et les restitutions de leurs biens, quand ils n'avaient pas été vendus.
Les frères Baboin étaient d'une autre trempe. Négociants et banquiers à Lyon, ils avaient réussi à s'échapper de Lyon après le fameux siège et la sanglante répression qui s'en était suivie. Ils furent parmi les rares royalistes, enrôlés dans l'armée du comte de Précy, qui parvinrent à passer en Suisse et, de là, en Bavière pour aboutir à Vienne où ils reprirent leurs activités de banquiers. Ce qui est remarquable dans leur cas, c'est que, tout en affichant leur neutralité en matière politique, ils secouraient discrètement le prétendant, futur Louis XVIIII, mais s'efforçaient d'entretenir de bonnes relations avec le représentant de la France. Suspects aux Viennois, très montés contre la France et ses régimes successifs, suspects également aux différents gouvernements qui avaient succédé à la Convention, d'autant plus qu'ils étaient riches, ils gardaient au fond du coeur le regret de leur patrie et rêvaient d'y revenir. Ils y réussirent, mais non sans mal, et c'est le récit de cette entreprise ardue et paradoxale que leur descendant raconte ici, grâce aux correspondances échangées entre les deux frères et leurs alliés. C'est un précieux apport à l'histoire de ces Français persécutés qui gardèrent intact, en dépit des épreuves subies, leur patriotisme, et infligèrent ainsi un démenti à l'idéologie révolutionnaire.

PRIX TTC : 12,00 euros

1 décembre 2012

Veuve Guerin et fils : Banque et soie, une affaire de famille, Saint-Chamond - Lyon (1716-1932)

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Auteur Serge Chassagne
Illustration de couverture : Louis Guerin

Dépôt légal : décembre 2012
Broché / 381 pages
Dimensions : 24 x 17 x 3 cm

4ème de couverture :
Peu de maisons de commerce lyonnaises ont assurément laissé autant d'archives que VGF, d'où l'intérêt de cette étude monographique qui retrace plus de deux siècles d'activité et nous permet d'approcher au plus près des pratiques commerciales et patronales, dont on notera l'étrange modernité (toujours acheter au meilleur coût et ne jamais vendre à perte, en faisant savoir évidemment qu'on y gagne peu ; réduire les frais généraux et les salaires en temps de récession ; garder naturellement secrets les profits).
On doit d'ailleurs se féliciter qu'Hugues Guérin, fils aîné du dernier gérant Charles, ait jugé bon en 1999 de déposer aux Archives départementales du Rhône tous les papiers qu'il avait conservés, avec le sens de l'importance (passée) de la maison dont il portait avec fierté le nom.
Car ce qui frappe le lecteur, en ce début du XXIe siècle, est la place de l'écrit chez ces marchands de soies-banquiers, que ce soit pour confirmer un contact verbal, préparer un acte de société, soutenir le zèle des commis du comptoir ou accorder la signature sociale à un fondé de pouvoirs, alors qu'aujourd'hui le téléphone, les courriels ou les dîners en ville ne laissent guère de traces et priveront les historiens de demain de maintes explications sur les décisions des hommes d'affaires.
Recourt-on aujourd'hui aussi fréquemment au notaire (un notaire de famille qui partage les mêmes valeurs "morales" que ses clients) que les Guerin l'ont fait de génération en génération ?
Tous les documents entrecroisés, et cités ici aussi souvent que possible, nous les ont rendus familiers. Au lecteur désormais de partager éventuellement l'empathie de l'historien pour son sujet.

PRIX TTC : 22,00 euros

1 novembre 2012

Avec mes yeux d'enfant : Témoignage d'un fils de résistant déporté

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Auteur Robert Pédron

Dépôt légal : novembre 2012
Broché / 126 pages
Dimensions : 21 x 15 x 1 cm

4ème de couverture :
Robert Pédron, né en 1928, est l'aîné des trois fils d' André, comptable agrée à Saint-Priest, dans la proche banlieue de Lyon.
Agent du Réseau Mithridate, son père fut arrêté le 19 octobre 1943 par des agents de I'Abwehr. En détention à la prison Montluc de Lyon. puis au camp de Compiègne-Royallieu, il fut déporté par le convoi du 7 juin 1944 au camp de Neuengamme, puis affecté le 21 août au Kommando de Porta-Westfalica.
Evacué le 31 mars 1945 sur le camp de Bergen-Belsen, libéré le 15 avril, il quitta enfin ce camp de la mort le 17 mai.
Dès son retour. début juin 1945, André Pédron rédigea, puis fit éditer son témoignage, intitulé Matricule 34900 - De Montluc à Belsen, qui fut réédité en 2007 par les Editions BGA Permezel.
Après évocation des années d'avant-guerre qu'il qualifie "d'heureuses", Robert Pédron retrace les interminables années tragiques de la Seconde Guerre mondiale qui ont cruellement marqué la vie familiale.
Rare témoignage d'un enfant de résistant déporté en âge d'appréhender cette terrible situation, ce récit est dédié à ses parents. A son père, pour son héroïque engagement dans le combat contre le nazisme, à sa mère dont le courage et la détermination ont permis à ses frères et à lui-même de survivre, malgré les nombreuses difficultés de tous ordres qui ont suivi l'arrestation et la déportation du chef de famille.

PRIX TTC : 12,00 euros

1 octobre 2011

Petit diconoclaste illustré de Lyon

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Auteur : Malo de Boiclère
Illustrations : Natalie Pagès

Dépôt légal : 4ème trimestre 2011
Broché / 64 pages
Dimensiosn : 16 x 11 x 1 cm

4ème de couverture :
Depuis longtemps, nombre de « tout-puissants », comme leurs réalisations prestigieuses, ont fait l'objet de moqueries. Epigrammes, fabliaux, farces, pamphlets et satires peuplent bien les rayons des bibliothèques.
Avec une somme de cent cinquante-deux quatrains et plus d'une vingtaine d'illustrations caricaturales, cet insolent dictionnaire iconoclaste de Lyon s'inscrit délibérément dans cette tradition. Ni bien ni mal pensant, indépendant de tout pouvoir, il sait donner libre cours à l'irrévérence, parfois même à la subversion.
Il faut, à côté du dictionnaire qui enseigne comment parler et écrire, des ouvrages qui suscitent le sourire.
L'humour est toujours essentiel à l'être humain, autant que les battements de son cœur !

PRIX TTC : 9,00 euros

1 décembre 2010

Châtelains & vie de château autour de Lyon (1840-1940)

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Auteur : Maryannick Lavigne-Louis

Dépôt légal : 4ème trimestre 2010
Broché / 368 pages
Dimensions : 24 x 17 x 2 cm

4ème de couverture :
Comme l'arbre s'élevant vers les cimes, le château appartient à l'espace intime par ses racines, et à la vie sociale par sa sève, celle de ses hôtes de passage qui l'animent.
À lui seul, il exprime une vie de château.
Si comme l'affirme le dicton populaire : " Ma maison est mon château, ma maison est mon Louvre, mon Fontainebleau ", le châtelain et sa manière de vivre, par essence, relèvent de la vie privée, inaccessible.
Sans vouloir dévoiler les secrets de famille, l'ambition de ce recueil est de plonger - autant que faire se peut - dans l'intimité d'aristocrates, bourgeois, industriels et élite intellectuelle de la région de Lyon qui ont partagé une même passion pour les pierres qu'ils ont habitées, aimées parfois avec déraison. Souvent ils ont voulu y imprimer leur marque et s'inscrire dans la durée.
Acquis ou hérité, le château est souvent l'objet d'une restauration au goût du jour, d'un agrandissement, voire d'une démolition, puis d'une reconstruction, et ses abords, objets de toutes les attentions, forment soit un jardin à la française, soit un parc anglais. Quelques familles reçoivent beaucoup et fastueusement, d'autres se limitent au cercle familial élargi et à de rares intimes. Jusqu'à la guerre 14-18, une domesticité nombreuse et dévouée sait répondre aux caprices des uns et des autres.
Au-delà de leur aspect extérieur, ces demeures, plus ou moins somptueuses, sont un portrait au vif de celles et de ceux qui les ont voulues ou reçues, le fruit d'une époque révolue dont ces pages tentent d'offrir un fidèle reflet.

PRIX TTC : 39,00 euros

2 mars 2009

Brisures - De la typo aux kapos

brisures

Auteur :  Charles Sirioud

Paru le 02/2009

4ème de couverture :
Dans les ateliers typographiques de presse, dès que la première impression de nuit « roule », les ouvriers de la composition « brisent » pour, avec cet instant de pause, échapper à l’oppressante chaleur du plomb.
Ouvrier typographe depuis 1938 et militant du Syndicat du livre, Charles Sirioud habite Villeurbanne, où il est né le 1er mai 1924.
Début 1942, il lui semble naturel d’organiser un petit atelier clandestin d’imprimerie. Aidé par deux camarades, il tire des papillons et des tracts appelant à la dissidence.
Agent du Front national de lutte pour l’indépendance de la France, il est arrêté à Lyon le 6 janvier 1944 par des agents français de la Gestapo.
Cette interpellation marque le point de départ de la brisure de sa dignité d’être humain.
Fortement torturé dans las locaux de l’Ecole de santé militaire, puis interné à la Baraque de la prison de Montluc de Lyon et au camp de transit de Compiègne-Royallieu, il fait partie du « convoi des tatoués » qui arrive le 27 avril au camp d’Auschwitz-Birkenau.
Après passage aux camps de Buchenwald et de Flossenbürg, Charles Sirioud est affecté le 3 juin au Kommando de Flöha pour travailler à l’assemblage de carlingues de messerschmitt 109.
Ce récit des vingt première années de son existence, toujours sensible et souvent plein d’humour, est d’abord, pour l’auteur, un hommage à ses aïeux, ruraux du Bas-Dauphiné qui ont mené des vies dures.
Mais surtout, Brisures fait ressortir la constance de ses combats pour la dignité humaine et, sans larmoiement, témoigne d’une tragédie intime et collective, celle de la déportation de millions d’hommes et de femmes par l’Allemagne nazie.

PRIX TTC : 20,00 euros

16 juillet 2008

Les Années Révolues - Souvenirs de la résistance et du barreau...

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Auteur :  Pierre Cohendy

Paru le 05/2008

4ème de couverture :
Etudiant à la Faculté de droit et à l’Ecole libre des sciences politiques (repliée de Paris à Lyon), Pierre Cohendy entre au début de l’année 1942 aux Forces unis de la jeunesse, émanation du Mouvement clandestin Combat.
En charge du recrutement – organisation – propagande, puis des faux papiers et du cantonnement de résistants de passage, il échappe en mars 1944 à une arrestation par la Milice.
Dès lors et jusqu’à la Libération, il agit à Paris dans les rangs du Réseau Tartare-Masséna.
Le 13 mai 1946, il prête serment comme avocat au Barreau de lyon.
Pendant plus d’un demi-siècle, fidèle à l’engagement de sa jeunesse, il plaide pour la Sécurité sociale, assure la défense d’Algériens militant pour l’indépendance, puis celle de victimes du nazi Barbie et du milicien Touvier, siège à la commission des droits de l’Homme du barreau et préside l’Association « Lyon Aide aux Victimes » (LAVI) …
Malgré les épreuves endurée, les risques encourus et les drames vécus, Pierre Cohendy sait restituer, avec une sincérité jamais en défaut, le frémissement de ses émotions, de ces doutes, la fraîcheur de ses étonnement et l’humanité du regard qu’il porte sur ses semblables.
Leçon de vie, témoignage sur ces engagements traduit le naturel d’une vie.

PRIX TTC : 8,00 euros

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